• Album de folk-rock intimiste sorti en 1971.

    "Blue" a été l'album de Joni Mithchell à son apogée. Ce fut un journal ouvert déversant son coeur sanglant, sa douleur et sa tristesse. Elle est devenue un poête et un parolier à part entière avec une musique aux influences pop et jazz. Elle a appris à jouer du dulcimer et en joue magnifiquement dans cet album et en particulier dans la chanson d'ouverture "All I Want"

    En 2003 "Blue" a été classé 30ème parmi la liste des 500 plus grands albums de tous les temps par le magazine Rolling Stone.

    En 2000 "Blue" a remporté la première place dans les 50 plus grands albums canadien.

    Album très intimiste notemment sur sa chanson "Little Green" écrite en 1967 au sujet de sa fille qu'elle avait du abandonnée lorsqu'elle n'était qu'une chanteuse pauvre. Cette chanson montre toute la sensibilité de Joni Mitchell. Cette chanson a été réécrite un certain nombre de fois avant sa sortie. Elle a retrouvé sa fille en 1997.

    "Carey" nous montre une fois de plus sa compétence pour cet instrument qu'est le dulciner.

    La chanson titre "Blue" pourrait avoir un rapport avec le chanteur David Blue avec qui elle aurait eu une liaison.

    "California" est un autre petit bijou qu'elle chante admirablement accompagnée par son dulciner.

    "This Flight Tonight" est une chanson sur un regret d'un amour trop court a cause d'un départ. Le groupe Nazareth a reprit "This Flight Tonight"  dans leur style hard-rock en 1973

    Bien que n'ayant jamais sorti en single, "River" est devenue l'une des plus célèbres chansons de Joni Mitchell qui s'interroge sur la récente rupture d'une relation amoureuse. Pas moins de 227 reprises de cette chanson ont été enregistrées.

    Grand succès pour "A Case Of You" qu'elle chante accompagnée de son dulcimer. Cette chanson a fait l'objet de plusieurs reprises.

    La chanson qui cloture cet album "The Last Time I Saw Richard" pourrait faire référence au premier mari de Joni : Chuck Mitchell. Le groupe de rock brésilien Legiào Urbana a repris "The Last Time I Saw Richard" en 1992

     


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  • Le jazz est un genre du musique né en USA au début du XXè siècle. Elle est issue  du blues , du gagtime et de la musique européenne. C'est à la nouvelle Orléans que l'on attribue la naissance du jazz. Ses ancètres sont le "work song" , chant de travail des esclaves africain. et les chants religieux, negro spirituals et gospels chantés dans les églises lors des cérémonies religieuses. Le premier enregistrement de jazz voit le jour en 1917, par l'Original Dixieland Jass Band.

    Autoproclamé inventeur du jazz, Jelly Roll Morton est en effet un passeur entre  ragtime et jazz mais ce sont Kid Ory, Sidnet Bechet et surtout Louis Amstrong qui s'imposent comme les grands solistes des formations Nouvelle-Orléans, ce dernier ouvrant avec ses solos la porte à l'ère du swing.


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  • SAGA - Silent Knight - 1980 - Album

    Troisième superbe album de ce groupe canadien de rock progressif sorti en 1980.

    Doté d'une sonorité personnelle et d'un fort bon chanteur, ce disque est considéré par les amateur de rock progressif comme un incontournable de Saga.

    On trouvera sur cet album quelques morceaux emblématiques définissant le style de Saga.

    L'excellent "Dont Be Late"  qui ouvre l'album est devenu un classique incontournable. "Help Me Out" est perfusé d'un funk léger, une caractéristique somme toute fort originale chez les groupe de rock progressif que Saga développera encore mieux par la suite, tandis que "Compromise" rappelle l'approche pop symphonique d'Asia dont le premier opus ne paraitra que deux années plus tard. L'un de leur meilleur morceau et l'un des sommets de toute leur discographie  est toutefois "Careful Where You Step" qui cloture l'album avec une mélodie irrésistible, un rythme exubérant et un texte directement inspiré par la paranoïa inhérente à la guerre froide.

    Un must du rock progressif.


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  • Alan Parson Project - Pyramid

    Album de rock progressif sorti en 1978.  C'est un album concept centré sur la pyramide de Gizeh. Cet album cherche à amplifier les échos envoûtants du passé et d'explorer les mystères non résolu de la pyramide actuelle : la dernière merveille du monde antique.

    Dans l'ensemble l'album offre pas mal de points communs avec "I Robot". On retrouve les même sonorités, parfois des compositions assez semblables, mais tout semble s'enchainer beaucoup plus agréablement. Notamment  sur la première face qui réunit une série de chansons meilleures les unes que les autres, en particulier "Can't Take It With You", ou tout le savoir faire de Parson comme producteur est évident.

    Comme d'habitude la seconde face commence avec une petite symphonie "In The Lap Of The gods". On est donc d'autant plus surpris de trouver ensuite un truc sautillant "Pyramania" qui fait très pop. "Hyper Gamma-Spaces" par contre s'apparente plus à l'électro-rock et à Tangerine Dream en particulier.

    Dans le final "Shadow Of A Lonely Man", il y a quelque chose de "The Long And Winding Road" des Beatles. La grande force de ce disque est qu'il s'écoute aussi bien d'une traite que chaque plage séparément. Il n'y a absolument aucun moment faible.

     


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  • Ziggy Stardust est un personnage fictif conçut et interpreté par David Bowie au début des années 1970. Le personnage relate de manière imprécise son histoire : celle d'un messager humain d'une intelligence extraterrestre cherchant a transmettre à l'humanité qui n'a plus que cinq années à vivre, un message d'amour et de paix, mais qui fini par être détruit par ses propres excès.

    Quatrième album de David Bowie paru en 1972. Il contient les fameux "Five Years", "Sufragette City" et surtout "Rock'n'roll Suicide" . Avec Mick Ronson à la guitare, Trevor Bolder (Uriah Heep) à la basse et Woody Woodmansey (U-Boat, Screen Idols) à la batterie.


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